Deuspi - Vald, Suik'On Blaz AD

Assis devant le bureau mon cerveau devient vert fluo

Je réfléchis trop j’ai l’impression qu’on me glisse pleins de suppos

J’ai du culot je me bute au jus dur, au Pulco

L’haleine de Pluto, je me rattrape en draguant des sumos

Quand le chat n’est pas là, les souris dansent

Quand je souris j’pense à ces soucis denses qui gaspillent ma life

Hum Gab';

de tout, rions.

Oublions ces nuits pourrites

Mais bon la vie n’est pas que noir des fois y a bien des bouts de shit

Et si la chicha picote alors là je suis mal

J’suis qu’un animal qui peste contre l’arbitrage

Pour ma part…

J’dégaine des chichas vitales

Vis ta vie sale bizarre fissa

Je tombe dans le coma quand on me parle de chatte amicale

Ambiance électrique, j’met des caleçons et des slips

Pendant qu'à té-co j’ai mon pote qu’enchaine les oinj' et les slims

J’me suis pas rasé les tifs

J’aime pas les trav' et les bites

3 semaines et demi que je me lave pas, je m’en bats la race des lessives

Sullyvan dans l’MP3, je sais que t’aimes des fois

Tu l'écoutes et tu te masturbes jusqu'à en perdre tes doigts

Au fait des fois mon père déçoit

Mais j’oublie quand tu lèches mes doigts

La belle s'égare tu perds espoir

Je m’en fous si t’as la haine tais-toi

Non je n’ai pas la haine

Tu me casses les couilles c’est pas la peine

Donc cesse de palabrer car du guignol tu as la tête

Non, non, non, non je n’ai pas la tête du guignol espèce de guimauves

Tu mytho' sans arrêt je vais te fourrer avec 37 esquimaux

Mon trou de balle est fermé au pire ça me fera des ecchymoses

Tu sais que je suis pas gay si j’ose dire tant d’amour

Ah c’est si beau

Euh c’est si beau mais vite passons cet épisode

La confiance m’envoie des messages ambigus sur mon téléphone

T’en as trop dit ou pas assez

Tu continues de palabrer

Moi je vais me pavaner

Je me casse avec ma canne à pêche

Mais laisse moi faire mes dédicaces

En soum-soum si véritable

Je suis surement devant Théandras si ma maman me dévisage

Euh chéri c’est quoi ce bordel?

Je t’encule tiens, ouais je t’encule

Hein… Non mais…