Yakamonéyé XXV - Tryo, Camille Esteban

Yakamonéyé XXV - Tryo, Camille Esteban

Альбом
XXV
Год
2020
Язык
`Franču`
Длительность
302310

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Yakamonéyé XXV

Tryo, Camille Esteban

Que faire, que faire?

Oh mais, mais qu’est-ce que j’vais faire?

Que faire, que faire?

Oh mais, mais qu’est-ce qu’il faut faire?

Que faire, que faire?

Oh mais, mais qu’est-ce qu’on va faire?

Que faire pour court-circuiter?

Que faire pour court-circuiter la conspiration?

Qui fait que, comme d’habitude, je vis au fil des saisons

Filin tendu en vue que le rêve soit illusion

Je les volerai bien pour de bon, vos montagnes de millions

Mais bon, il y a bien ma bagnole et mon chien

Le biberon du bébé, le baby-sitter qui vient demain

La bouffe, le loyer, la banque à rembourser

Babylone, ma bien-aimée, c’est pour toi que je vais bosser

Mais bon, il y a bien cette chose que j’ai en moi

Tu ne peux pas la toucher, il y a que moi qui la vois

Vision virtuelle venant des vents les plus lointains

Je suis vivant et en rêvant, je vois la vie comme elle vient

Le rêve commence, le rêve commence

Le rêve commence, le rêve commence

Le rêve commence, le rêve commence

Le rêve, rêve, commence, danse, danse, vagabond danse

Le rêve commence, je vole vite et bien, boum, boum

Pas de volant, les virages se négocient bien

Bien, voilà que maintenant, un voilier me prend

Et c’est toutes voiles dans le vent que je voyage à présent

Je n’ai pas vu de violence, tu as eu de la chance

Je n’ai pas vu de violence, sûrement pas en France

Je n’ai pas vu de violence, tu as eu de la chance

Je n’ai pas vu de violence (Danse, danse, vagabond danse)

Je n’ai pas vu de violence, dans de voitures, de villes

Et c’est en France que je poursuis mon exil

Je vis, je vois, j’oublie les imbéciles

Et c’est là qu’au loin j’aperçois une île

Très vite, je m’approche, sur l’eau je ricoche et pof

J’atterris devant le sourire d’un mioche

Dans sa main, un morceau de brioche

À côté de lui, un chien qui renifle ses poches

Ici, tout est bien, beaucoup mieux qu’au cinoche

L’air qu’on respire est sain, personne ne roule en Porsche

On est chez quelqu’un que je sais apprécier

Il est dans mes rêves depuis des dizaines d’années

On est chez mon frère, celui qui jamais nous envie

Celui qui aime la terre, l’eau, qui a les enfants pour amis

Lui, il sait se taire, on écoute ce qu’il dit

Car jamais, jamais, jamais de sa bouche n’apparaît le mépris

L’humour est son petit frère, l’amour son aîné

Son nom représente la Terre, il s’appelle Yakamonéyé

Chez Yakamonéyé, nan-nan, il y a pas de monnaie

Il y a pas de barbelés, nan-nan, pour t’empêcher d’entrer

Il y a pas mal de mouflets chez Yakamonéyé

Un peu de sensei, beaucoup de liberté

Mais qu’est-ce qu’on va manger, qu’est-ce qu’on va planter?

Il y a pas de quoi s’inquiéter, nan-nan, chez Yakamonéyé

Il y a pas de monnaie, y a plus de monnaie

Y a pas de monnaie, y a plus de monnaie, y a pas de monnaie

Je rêve, j’me promène et je rêve

Je rêve, j’me promène et je rêve

Je rêve, oui mon frère, et ça vaut tous mes mois de salaire

Ma couette est le repaire où j’mène une vie pépère

J’libère le monde amer et même si j’y reste fier

J’aurais du mal à refaire tout ce qui va de travers

Alors je traverse les océans pour trouver ce monde d’enfants

Fonçant, fonçant comme un dément vers ces gens plus cléments

J’y reste quelque temps tant que je peux y rester

Et quand le réveil sonne, j’ai l'énergie pour lutter

Car j’ai été chez mon frère, celui qui jamais nous envie

Celui qui aime la terre, l’eau, qui a les enfants pour amis

Lui, il sait se taire, on écoute ce qu’il dit

Car jamais, jamais, jamais de sa bouche n’apparaît le mépris

L’humour est son petit frère, l’amour son aîné

Son nom représente la Terre, il s’appelle Yakamonéyé

Chez Yakamonéyé, chez Yakamonéyé

Chez Yakamonéyé, chez Yakamonéyé

Parle-moi de toi, tes récits valent de l’or

Je veux surtout pas voyager du Sud jusqu’au Nord

Fais ta vie, comme toi, j’veux cette vie de Bohème

J’prendrais ma guitare, j’fais des sons et des poèmes

J’veux voir des sourires, ouais, des manos arriba

Ça va balancer c’soir, on se barre chez Hata

Ouais, j’arrive, j’vais même rejoindre mon Costa Rica

On est roots, nous, besoin d’Caraïbes mais pas de lilas

Prie, ce soir on est posé

On s’refait le monde comme Yakamonéyé

On s’barre de la vie, on parait peut-être utopique

Toute cette politique, on d’vrait pouvoir la contredire

Changer les choses, j’y crois si on y met la dose

Tout seul, c’est nul, à plusieurs c’est plus drôle

L’argent rend fou, j’crois qu’c’est ça

Ça les rend fourbes, ça fait mal

Fais donc pas ci, fais donc ça, on nous bassine avec tout ça

J’marche qu’en coups, moi, j’marche pas droit

J’veux qu’des couleurs, pas de noir

La haine rend foud, qu’est-ce tu crois?

Donnons d’l’amour, c’est mieux ça

Ouais, ouais

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