Comme d'hab - JUL, Alonzo

Ils sont pleins d’manies, j’voyais personne quand y’avait nada\nRien à foutre d’eux tant que la rue m’valide, te chauffe pas, on s’en fout d’ta\nmadame, les contraires s’attirent\nIls sont pleins d’manies, j’voyais personne quand y’avait nada\nRien à foutre d’eux tant que la rue m’valide, te chauffe pas, on s’en fout d’ta\nmadame, les contraires s’attirent\nPas d’amis, que des frères, pas de putes, que des hommes\nSur la chair de ma chair, j’vous encule, j’en rigole\nA.M.G, en BG, j’ai la folle, j’ai l’alcool\nÀ Marseille, tu commences: tu guettes, puis tu fais rentrer des tonnes\nEn train d’cramer, j’embrasse tous mes vaillants qui sont en taule\nY’a la vie, y’a la mort, y’a des gens biens, y’a du shour\nDésolé Mama, dans ma tête c’est l’désordre\nSur du Alonzo Jul, le quartier caillasse les forces de l’ordre\nIls sont pleins d’manies, j’voyais personne quand y’avait nada\nRien à foutre d’eux tant que la rue m’valide, te chauffe pas, on s’en fout d’ta\nmadame, les contraires s’attirent\nEn i le Honda, fais le comme d’hab'\nRapta dans l’appart', on a fini comme d’hab'\nFais-le, fais-le, fais-le, fais-le, fais-le, fais-le\nFais-le, fais-le, fais-le, fais-le, fais-le, fais-le\nJ’me la fais comme d’hab', j’fume le mic', survêt de foot, je fais jamais l’mac\nQuand j’sors les petits reviennent d’la gratte, partagent les sous,\nl’or et coupent la plaque\nComme d’hab' y’a des fous sur l’terrain, viens dans mon monde sur ma vie c’est\npas tes rêves\nC’est pas terrible, trop font les Mesrine, que des farines au guidon du R1\nJ’vis à fond ma vie, et j’me cache pour pleurer\nJ’en dors plus la nuit, trop m’ont écœuré\nComme d’hab' quelqu’chose à dire, dis-le\nIl t’reste un stick gros, fais-le\nDevant ma team oh galope, slalome, salope\nTu parles trop tu vas t’prendre une calote\nLe RR 1000, lève-le\nIl parle mal c’fils de, crève-le, fais-le\nComme d’hab' quelqu’chose à dire, dis-le\nIl t’reste un stick gros, fais-le\nDevant ma team oh galope, slalome, salope\nTu parles trop tu vas t’prendre une calote\nLe RR 1000, lève-le\nIl parle mal c’fils de, crève-le, fais-le\nIls sont pleins d’manies, j’voyais personne quand y’avait nada\nRien à foutre d’eux tant que la rue m’valide, te chauffe pas, on s’en fout d’ta\nmadame, les contraires s’attirent\nEn i le Honda, fais le comme d’hab'\nRapta dans l’appart', on a fini comme d’hab'\nFais-le, fais-le, fais-le (Fais-le, fais-le, fais-le), fais-le, fais-le,\nfais-le (Fais-le, fais-le, fais-le)\nFais-le, fais-le, fais-le (Fais-le, fais-le, fais-le), fais-le, fais-le, fais-le\nIls sont pleins d’manies, j’voyais personne quand y’avait nada\nRien à foutre d’eux tant que la rue m’valide, te chauffe pas, on s’en fout d’ta\nmadame, les contraires s’attirent\nEn i le Honda, fais le comme d’hab'\nRapta dans l’appart', on a fini comme d’hab'\nFais-le, fais-le, fais-le (Fais-le, fais-le, fais-le), fais-le, fais-le,\nfais-le (Fais-le, fais-le, fais-le)\nFais-le, fais-le, fais-le (Fais-le, fais-le, fais-le), fais-le, fais-le, fais-le